« Pour le député
belge indépendant Laurent LOUIS, face aux criminels organisés qui
dirigent notre monde, le succès de la dissidence ne passe que par
l'union de ses différentes branches et acteurs. ». De
son côté, Joël Labruyère pense qu'une véritable dissidence doit
s'affranchir du pacifisme mou « qu'on nous a implanté ». Il s'interroge :
« Y-a t-il encore des guerriers ? »
« Le guerrier classique, dit Labruyère, s'étant envolé vers le Paradis des Héros, on peut douter que les modernes « guerriers pacifiques » prendront la même voie lorsque le temps de la riposte sera venue.
On fait semblant de jouer à la résistance sur Internet, résistance si passive qu'elle en est devenue virtuelle. Mais, lorsqu'on viendra nous placer des implants dans la tête, nous verrons si nos pacifiques guerriers seront toujours aussi non-violents ? Peut-être, seront-ils déjà réduits à l'état de systèmes électro-organiques parce que leur conscience aura fusionné avec l'ordinateur ? Dans ce cas, ils continueront à bêler « paix, paix ». Il ne faudra donc pas escompter un soulèvement » car il n'y a plus de guerriers prêts à risquer leur vie. Il n'y a plus de résistants et encore moins de combattants, ou bien si peu, qu'il faut les chercher à la lanterne, un à un, parmi la multitude apathique.
Il ne s'agit pas de critiquer la passivité de ceux qui se prétendent être en chemin sur une voie d'éveil spirituel. Non, car la vocation de guerrier est inhérente à un certain type d'âme. Or, aujourd'hui, le constat est clair : il n'y a plus d'âmes combattantes dans le sens énergétique du terme. Certes, on trouve encore des êtres qui mènent une résistance morale, mais il ne faut pas leur parler d'action ! Pour eux, l'action se résume à assister à des conférences conspirationistes (ce qui est déjà téméraire), ou faire signer des pétitions (ce qui est de l'extrémisme !). Quant à ceux qui initialisent ces actions en vue de créer un « soulèvement de conscience », ce sont les héros de la plume, pas toujours sincères, mais impuissants à élaborer une stratégie. Ils sont isolés, déblatérant sur les places publiques virtuelles, dans la cour d'internement de la prison globale - internés dans l'Internet du Pentagone !
Les envolées idéalistes et les idées généreuses se perdent dans une cacophonie de millions de voix d'internés heureux, bien à l'abri dans leur chambre, assis sous la lumière irréelle de leur écran, castrés de tout dynamisme vivant, se répandant en paroles conformes, adressées à des ombres conformes, leurs frères de servitude, qu'ils appellent à s'unir.. .virtuellement. Nous ne nous occuperons donc plus de ce « guerrier pacifique », qui joue sa vie comme dans une play station.
Il faut rappeler qu'un authentique guerrier n'est jamais pacifique car il a identifié ses ennemis, et ceux-ci, s'ils sont réels, sont par nature dangereux. Le guerrier pacifique n'a tout bonnement pas d'ennemi identifiable. Il rêve l'action.
On peut toujours évoquer Gandhi et son appel à une résistance passive, comme dans les années 70. En attendant, une centaine de centrales nucléaires sont sorties de terre à la barbe d'une armée de guerriers pacifiques, arborant le badge de la Paix, sans savoir que c'est un symbole de défaite. Trente ans après, ils continuent à appeler à la résistance passive sur Internet. Un comble, puisque par essence, l'Internet incite à la passivité dans un confort intellectuel total. Dérision sur toute la ligne. Tragédie de ceux qui n'ont ni principes spirituels supérieurs, ni plan d'action.
Pour le guerrier pacifique, même la paix est virtuelle puisqu'il a rejeté toute idée de combat réel dans l'espace de la vie réelle. S'il n'y a plus d'âmes guerrières, et si nous rejetons l'activisme virtuel comme une imposture, que faut-il comprendre par « riposte » ou « guerre de l'avenir » ? La guerre actuelle se déroule dans un espace de nature électromagnétique. C'est une guerre des ondes.
Nous sommes attaqués par des rayonnements invisibles, émis de sources invisibles par un ennemi invisible. Il serait donc parfaitement irréaliste d'appeler à un soulèvement armé contre des satellites !
Une véritable résistance apparaîtra lorsque les guerriers potentiels se seront extraits du piège de la contestation virtuelle, et qu'ils auront réalisé qu'ils ont un adversaire REEL. Il faudra sans doute du temps pour se déconditionner du lavage de cerveau que nous a infligé l'ennemi : confusion, pacifisme mou, etc... Le principe initial qui fonde une stratégie c'est d'identifier l'adversaire. Il faut apprendre à le connaître. Nos guerriers pacifiques en sont encore loin, car la notion d'adversaire leur est inconnue. Hallucinés par la pantomime médiatique et ses marionnettes officielles, ils disent « il n'y a pas d'ennemi ! » pendant qu'on les extermine lentement.
Les méchants Bush et Saddam ne sont pas en cause. Idem pour les gentils - Abbé Pierre ou Mère Teresa. Ce sont tous des pantins, parmi les milliers d'étoiles factices qui clignotent devant les masses hypnotisées. Ne confondons pas les décideurs avec les exécutants, aussi hauts placés soient-ils, car les officiels serviles ignorent la source d'où leur parviennent les ordres.
Un président de la République est une marionnette en cage. Dès lors, imaginons ce que pèsent les pantins des médias ! Ce sont des fantômes doués de parole qui récitent leur leçon sur les registres autorisés par la censure globale. Il ne faut donc pas se tromper de cible. L'Adversaire est une puissante entité-groupe occulte, ce qui ne simplifie pas la tâche, mais nous évite de perdre de l'énergie contre les moulins à vent ou d'autres moulins à prières. Identifier un adversaire invisible n'est pas simple, et c'est pourquoi, les naïfs préfèrent s'attaquer aux leurres médiatiques - attaque virtuelle, bien sûr. Mais qui est cet adversaire qui nous arrose de poisons à partir du sol, et nous bombarde d'ondes depuis le ciel, en toute légalité ? A t-il un nom, un visage ?
Ici, notre chemin se sépare du guerrier pacifique. C'est également là que nos amis spiritualistes adeptes de la « résistance en conscience » vont nous quitter, car dès qu'on menace d'identifier l'ennemi du genre humain, une formidable confusion s'empare des esprits. On recule et on refuse d'entendre. On s'excuse et on rentre chez soi. Sécurité d'abord !
On se retrouve soudain bien seul, pendant que les braves guerriers pacifiques se sont installés devant leur ordinateur. Certains se sont évaporés dans une méditation plus ou moins transcendantale ; d'autres ont entamé un rituel chamanique supposé rendre l'adversaire plus conciliant, tandis que d'autres prient pour le salut de l'âme de l'ennemi. Bref, lorsqu'on parle d'ennemi, on risque de perdre ses amis. Car l'adversaire a mis un voile épais sur son existence. Ses sbires innombrables emplissent l'espace culturel de leurs clameurs, afin de détourner notre attention, ce qui nous ferait même douter de l'existence d'un ennemi.
Il faut donc appliquer la méthode de discrimination suivante : toute parole et information qui passe par un canal autorisé ne peut pas desservir l'adversaire, mais favorise au contraire sa stratégie de brouillage et de dissimulation. Autrement dit, tout ce qui n'est pas clandestin, a reçu l'aval de l'adversaire. Il en va ainsi pour toutes les sources de communication alternatives, qui, sous couvert de dénonciation, renforcent le système de brouillage en n'identifiant jamais clairement Le ou Les adversaires ultimes ainsi que leur stratégie.
Exemple, les ligues antivaccinalistes dénoncent l'empoisonnement de masse pour raisons mercantiles ou « erreur médicale », sans révéler à qui profite le crime et pourquoi. Il en va de même dans les autres domaines. Nul n'a le courage de remonter les filières jusqu'à la source ultime du contrôle. On nie même qu'il existe un centre de contrôle.
Par conséquent, l'adversaire est à l'abri de toute intrusion dans ses affaires, surtout depuis qu'il a mis en place le leurre d'un grand complot qu'il est interdit d'évoquer ! A ce point, il faut prévenir ceux qui finiront par demander : « mais qui est donc cet adversaire que personne n'a le courage de nommer ? » Il faut vous avertir que la vérité à ce sujet ne regarde que ceux qui sont impliqués dans le combat.
La guerre de résistance du futur ne concernera que les guerriers qui ont montré un signe d'engagement aux yeux de la Fraternité qui gère cette opération de reconquête sur le plan terrestre.
La réaction à cet article pourrait être un test pour sonder notre ardeur guerrière. Alors, désirons-nous en savoir plus sur la guerre du présent et de l'avenir ? Ce n'est pas certain, car il nous faudrait renoncer à notre chère sécurité individualiste. C'est pourquoi les guerriers se font rares. »
« Le guerrier classique, dit Labruyère, s'étant envolé vers le Paradis des Héros, on peut douter que les modernes « guerriers pacifiques » prendront la même voie lorsque le temps de la riposte sera venue.
On fait semblant de jouer à la résistance sur Internet, résistance si passive qu'elle en est devenue virtuelle. Mais, lorsqu'on viendra nous placer des implants dans la tête, nous verrons si nos pacifiques guerriers seront toujours aussi non-violents ? Peut-être, seront-ils déjà réduits à l'état de systèmes électro-organiques parce que leur conscience aura fusionné avec l'ordinateur ? Dans ce cas, ils continueront à bêler « paix, paix ». Il ne faudra donc pas escompter un soulèvement » car il n'y a plus de guerriers prêts à risquer leur vie. Il n'y a plus de résistants et encore moins de combattants, ou bien si peu, qu'il faut les chercher à la lanterne, un à un, parmi la multitude apathique.
Il ne s'agit pas de critiquer la passivité de ceux qui se prétendent être en chemin sur une voie d'éveil spirituel. Non, car la vocation de guerrier est inhérente à un certain type d'âme. Or, aujourd'hui, le constat est clair : il n'y a plus d'âmes combattantes dans le sens énergétique du terme. Certes, on trouve encore des êtres qui mènent une résistance morale, mais il ne faut pas leur parler d'action ! Pour eux, l'action se résume à assister à des conférences conspirationistes (ce qui est déjà téméraire), ou faire signer des pétitions (ce qui est de l'extrémisme !). Quant à ceux qui initialisent ces actions en vue de créer un « soulèvement de conscience », ce sont les héros de la plume, pas toujours sincères, mais impuissants à élaborer une stratégie. Ils sont isolés, déblatérant sur les places publiques virtuelles, dans la cour d'internement de la prison globale - internés dans l'Internet du Pentagone !
Les envolées idéalistes et les idées généreuses se perdent dans une cacophonie de millions de voix d'internés heureux, bien à l'abri dans leur chambre, assis sous la lumière irréelle de leur écran, castrés de tout dynamisme vivant, se répandant en paroles conformes, adressées à des ombres conformes, leurs frères de servitude, qu'ils appellent à s'unir.. .virtuellement. Nous ne nous occuperons donc plus de ce « guerrier pacifique », qui joue sa vie comme dans une play station.
Il faut rappeler qu'un authentique guerrier n'est jamais pacifique car il a identifié ses ennemis, et ceux-ci, s'ils sont réels, sont par nature dangereux. Le guerrier pacifique n'a tout bonnement pas d'ennemi identifiable. Il rêve l'action.
On peut toujours évoquer Gandhi et son appel à une résistance passive, comme dans les années 70. En attendant, une centaine de centrales nucléaires sont sorties de terre à la barbe d'une armée de guerriers pacifiques, arborant le badge de la Paix, sans savoir que c'est un symbole de défaite. Trente ans après, ils continuent à appeler à la résistance passive sur Internet. Un comble, puisque par essence, l'Internet incite à la passivité dans un confort intellectuel total. Dérision sur toute la ligne. Tragédie de ceux qui n'ont ni principes spirituels supérieurs, ni plan d'action.
Pour le guerrier pacifique, même la paix est virtuelle puisqu'il a rejeté toute idée de combat réel dans l'espace de la vie réelle. S'il n'y a plus d'âmes guerrières, et si nous rejetons l'activisme virtuel comme une imposture, que faut-il comprendre par « riposte » ou « guerre de l'avenir » ? La guerre actuelle se déroule dans un espace de nature électromagnétique. C'est une guerre des ondes.
Nous sommes attaqués par des rayonnements invisibles, émis de sources invisibles par un ennemi invisible. Il serait donc parfaitement irréaliste d'appeler à un soulèvement armé contre des satellites !
Une véritable résistance apparaîtra lorsque les guerriers potentiels se seront extraits du piège de la contestation virtuelle, et qu'ils auront réalisé qu'ils ont un adversaire REEL. Il faudra sans doute du temps pour se déconditionner du lavage de cerveau que nous a infligé l'ennemi : confusion, pacifisme mou, etc... Le principe initial qui fonde une stratégie c'est d'identifier l'adversaire. Il faut apprendre à le connaître. Nos guerriers pacifiques en sont encore loin, car la notion d'adversaire leur est inconnue. Hallucinés par la pantomime médiatique et ses marionnettes officielles, ils disent « il n'y a pas d'ennemi ! » pendant qu'on les extermine lentement.
Les méchants Bush et Saddam ne sont pas en cause. Idem pour les gentils - Abbé Pierre ou Mère Teresa. Ce sont tous des pantins, parmi les milliers d'étoiles factices qui clignotent devant les masses hypnotisées. Ne confondons pas les décideurs avec les exécutants, aussi hauts placés soient-ils, car les officiels serviles ignorent la source d'où leur parviennent les ordres.
Un président de la République est une marionnette en cage. Dès lors, imaginons ce que pèsent les pantins des médias ! Ce sont des fantômes doués de parole qui récitent leur leçon sur les registres autorisés par la censure globale. Il ne faut donc pas se tromper de cible. L'Adversaire est une puissante entité-groupe occulte, ce qui ne simplifie pas la tâche, mais nous évite de perdre de l'énergie contre les moulins à vent ou d'autres moulins à prières. Identifier un adversaire invisible n'est pas simple, et c'est pourquoi, les naïfs préfèrent s'attaquer aux leurres médiatiques - attaque virtuelle, bien sûr. Mais qui est cet adversaire qui nous arrose de poisons à partir du sol, et nous bombarde d'ondes depuis le ciel, en toute légalité ? A t-il un nom, un visage ?
Ici, notre chemin se sépare du guerrier pacifique. C'est également là que nos amis spiritualistes adeptes de la « résistance en conscience » vont nous quitter, car dès qu'on menace d'identifier l'ennemi du genre humain, une formidable confusion s'empare des esprits. On recule et on refuse d'entendre. On s'excuse et on rentre chez soi. Sécurité d'abord !
On se retrouve soudain bien seul, pendant que les braves guerriers pacifiques se sont installés devant leur ordinateur. Certains se sont évaporés dans une méditation plus ou moins transcendantale ; d'autres ont entamé un rituel chamanique supposé rendre l'adversaire plus conciliant, tandis que d'autres prient pour le salut de l'âme de l'ennemi. Bref, lorsqu'on parle d'ennemi, on risque de perdre ses amis. Car l'adversaire a mis un voile épais sur son existence. Ses sbires innombrables emplissent l'espace culturel de leurs clameurs, afin de détourner notre attention, ce qui nous ferait même douter de l'existence d'un ennemi.
Il faut donc appliquer la méthode de discrimination suivante : toute parole et information qui passe par un canal autorisé ne peut pas desservir l'adversaire, mais favorise au contraire sa stratégie de brouillage et de dissimulation. Autrement dit, tout ce qui n'est pas clandestin, a reçu l'aval de l'adversaire. Il en va ainsi pour toutes les sources de communication alternatives, qui, sous couvert de dénonciation, renforcent le système de brouillage en n'identifiant jamais clairement Le ou Les adversaires ultimes ainsi que leur stratégie.
Exemple, les ligues antivaccinalistes dénoncent l'empoisonnement de masse pour raisons mercantiles ou « erreur médicale », sans révéler à qui profite le crime et pourquoi. Il en va de même dans les autres domaines. Nul n'a le courage de remonter les filières jusqu'à la source ultime du contrôle. On nie même qu'il existe un centre de contrôle.
Par conséquent, l'adversaire est à l'abri de toute intrusion dans ses affaires, surtout depuis qu'il a mis en place le leurre d'un grand complot qu'il est interdit d'évoquer ! A ce point, il faut prévenir ceux qui finiront par demander : « mais qui est donc cet adversaire que personne n'a le courage de nommer ? » Il faut vous avertir que la vérité à ce sujet ne regarde que ceux qui sont impliqués dans le combat.
La guerre de résistance du futur ne concernera que les guerriers qui ont montré un signe d'engagement aux yeux de la Fraternité qui gère cette opération de reconquête sur le plan terrestre.
La réaction à cet article pourrait être un test pour sonder notre ardeur guerrière. Alors, désirons-nous en savoir plus sur la guerre du présent et de l'avenir ? Ce n'est pas certain, car il nous faudrait renoncer à notre chère sécurité individualiste. C'est pourquoi les guerriers se font rares. »
Joël Labruyère