Un
plan en plusieurs étapes
Le
site américain :
http://www.infowars.com/print/nwo/shwartz_section.htm
soulève des questions plus qu'embarrassantes sur l'une des figures
les plus emblématiques d'Hollywood, devenue gouverneur de la
Californie : Arnold Schwarzenegger. Il faut bien reconnaître que le
destin de l'homme n'est pas banal, et s’apparente même à celui
des héros de l’antiquité. De son propre aveu, depuis sa plus
tendre enfance, Schwarzenegger s'est monté non pas un plan de
carrière mais un plan de vie aux étapes aussi ambitieuses que
démesurées ; un plan qu'il a scrupuleusement respecté jusqu'à ce
jour.
Derrière
l'image caricaturale de “M. Muscle” que certains ont voulu voir
en lui, on découvre en réalité un jeune homme plus que brillant
qui terminera ses études avec, en poche, un MBA en économie et un
autre en gestion. Pas mal tout de même pour un homme dont la langue
maternelle n’est même pas l’anglais. D’autant qu’il devient
millionnaire en se lançant dans les affaires et tout ça alors qu'il
a à peine un peu plus de 20 ans. La première étape visée étant
atteinte, Arnold peut s’attaquer en toute sérénité à la seconde
: il veut devenir une star internationale, ce qu’il deviendra en
quelques petites années grâce au succès d’un seul film. On
connaît la suite et sa filmographie exceptionnelle. Jusqu'au 3 janvier 2011, Schwarzenegger était gouverneur républicain de
Californie.
Prochaine
étape ? La Maison Blanche ?... Pour cela, il lui faudra cependant
modifier le texte de la constitution américaine qui impose que le
président soit né sur le territoire américain. Une formalité
finalement au regard du parcours sans faute de cet homme qui, à
l’instar des héros qu'il incarne au cinéma, a toujours triomphé
de tous les obstacles. Notons au passage que le dernier gouverneur
californien devenu président des Etats-Unis était Ronald Reagan, un
autre acteur… L'histoire ne se répète jamais, mais elle a parfois
le hoquet…
Naturellement,
cette ascension fulgurante collant à merveille à l’idée qu’on
se fait du rêve américain n'a pas laissé indifférents les
enquêteurs conspirationnistes des Etats-Unis, lesquels ont voulu
savoir si la “success story” de cet Autrichien aux origines
modestes ne cachait pas une réalité plus en phase avec leur
conception du monde.
Au
regard de la conspiration, la carrière internationale de l’acteur
est à elle seule un message adressé au monde. Elle débute en effet
avec le mythe universel d'une humanité depuis longtemps disparue, et
s'achève avec un autre thème universel, celui de la fin des temps
(titre d'un de ses derniers films) avec la prise de contrôle de la
planète par les machines, c'est Terminator 3, Le jugement dernier. Est-ce
simplement une fiction ? les conspirationnistes l’entendront comme
un avertissement qu'il n'est plus question de sauver le monde mais de
trouver un moyen pour une petite poignée d’êtres humains de
survivre à un évènement qui est décidément inéluctable.
Il
faut bien avouer que les informations ont commencé à circuler
lorsque la vie de l'acteur a marqué le pas pour laisser la place à
la politique. Il est des milieux dont on ne s’approche pas sous
peine d’éclaboussures...
Quoi
qu'il en soit, après la star adulée par ses millions de fans à
travers le monde, et moqué naïvement par les intellectuels gardant
en mémoire l'image simpliste d'un Monsieur Univers, champion de
culturisme, cette nouvelle étape de la vie de Schwarzenegger a fait
apparaître un homme
à la personnalité des plus complexe. Pour les conspirationnistes,
la question est donc de savoir, si les vies successives d'Arnold
s'appuient sur sa seule volonté hors du commun ou sur un groupe
secret aux motivations obscures. Nous portons donc à la connaissance
de nos lecteurs les révélations
de l'enquête, (à prendre avec le discernement et le recul qui
s'impose), pour ce qu'elles illustrent parfaitement bien l'atmosphère
qui règne aujourd'hui dans le milieu conspirationniste américain.
Une
chose est certaine, seul l'avenir nous dira si la vision
conspirationniste est conforme à la réalité.
La
plupart des individus sur la terre s’imaginent que Schwarzenegger
est un sympathique champion de body bulding, devenu une star
charismatique d'Hollywood. Ceux qui connaissent un peu mieux sa
biographie savent qu'il a épousé une femme du clan Kennedy, et en
déduisent que cela l'a amené à s'intéresser à la politique.
D'après le site web infowars, cette vision des choses ne serait que
la partie apparente d'une histoire aux imbrications complexes où se
mêleraient sociétés secrètes, rituels antiques,
et influences nazies. À en croire les enquêteurs, à l'instar de
Faust, Arnold Schwarzenegger aurait – afin de s'assurer le succès
dans chacune de ses entreprises – fait une sorte de pacte avec “le
Diable” ou tout au moins avec une puissance obscure.
D'après
infowars, les faits parlent d'eux même. Le père d'Arnold, Gustav, a
essayé de s'inscrire au parti nazi autrichien dès 1938, à une
époque où ce parti était illégal en Autriche. Il a fini par être
enrôlé dans les tristement célèbres SA de Hitler en mai 1939, six
mois après la fameuse "nuit de cristal",
au cours de laquelle les SA se sont illustrés d'une manière infâme.
C'est pendant cette nuit que les propriétés des Juifs, leurs
entreprises, leurs maisons et leurs synagogues, ont été pillées,
rasées dans toute l'Allemagne et en Autriche. Des milliers de Juifs
furent raflés et conduits dans des camps.
Au
cours de la seconde guerre mondiale, Gustav a suivi l'armée
allemande dans ses campagnes en Pologne, en France et en Russie. Au
cours de ces campagnes, le rôle de Gustav fut celui d'un policier
militaire. Selon infowars, Gustav Schwarzenegger finit par être
promu au grade de sergent-chef dans la Feldgendarmerie, la police
militaire allemande, dotée d’un pouvoir non négligeable sur tous
les autres corps de l’armée.
À
la lecture de tout ceci on a envie de rétorquer qu'il n’est pas
correct de juger le fils d'après les agissements de son père... Ce
à quoi infowars répond : «
Arnold Schwarzenegger est depuis longtemps l'ami personnel d'un certain
nombre de criminels de guerre nazis, ainsi que de néo-nazis autrichiens.
Arnold a en particulier invité Kurt Waldheim, ancien Secrétaire Général
des Nations Unies, à son mariage avec Maria Shriver en 1986. À cette
époque, K. Waldheim avait déjà été dénoncé comme un ancien officier SS,
qui avait commis des crimes horribles contre les Grecs et les Serbes au
cours de la dernière guerre mondiale. » Infowars révèle
également que pendant la
cérémonie de son mariage, Arnold Schwarzenegger fit un discours
très émouvant, allant jusqu'à dire : « J'aime Kurt, malgré toutes ces balivernes nazies ! » On lui avait
pourtant conseillé la prudence, en raison du passé de son invité.
Cette
même année 1986, insiste infowars, alors que Kurt Waldheim se
présente aux élections présidentielles autrichiennes, Arnold
Schwarzenegger est un de ses plus fervents supporters. La vérité
sur le passé de Waldheim a éclaté au grand jour, mais au cœur de
la tempête, Arnold persiste dans sa position et déclare : «
Mes amis ne veulent plus que je prononce le nom de Kurt Waldheim en
public, à cause des récentes révélations sur son passé mais je l'aime et
mon épouse aussi. Donc merci à toi Kurt... »
Infowars
d'enfoncer le clou en précisant qu'Arnold Schwarzenegger continuera
à fréquenter Waldheim et sera photographié en sa compagnie au
parlement autrichien en 1998. Et d’ajouter qu’après la mort de
son père Gustav, sa mère a épousé un ancien colonel SS...
Elections
californiennes
D'autres
scandales ont émaillé la campagne électorale de l'acteur. Ses
rivaux ont en effet déterré de vieilles
affaires compromettantes. En 1976, dans un interview accordé au
magazine Rolling Stone intitullé "The Hero of Perfected
Mass" daté du 3 juin, Arnold Schwarzenegger révèle
publiquement son véritable rêve : «
Je sens que je suis un leader né. J'ai toujours eu le sentiment que je
deviendrais un leader. Je déteste être un suiveur et c'est comme ça
depuis l'enfance. Je pensais que j'étais né pour réaliser quelque chose
de spécial. L'argent ne me motivait pas. C'était un moyen. Je voulais
devenir célèbre, je rêvais de devenir un dictateur ou un sauveur comme
Jésus ».
De
son côté la chaîne ABC news aurait révélé détenir une vieille
interview non publiée où le jeune culturiste Schwarzenegger aurait
déclaré : « J'admire Hitler car c’était un homme
sorti de nulle part, sans grande éducation, et qu’il a pu malgré
tout accéder au pouvoir. Je l'admire car il était un orateur
exceptionnel. (…) J'aimerais vivre cette expérience, tout comme
Hitler au Stade de Nuremberg, avec tous ces gens suspendus à vos
lèvres et qui sont prêts à tout accepter, quoi que vous disiez... »
Cette
interview manuscrite est-elle un faux visant à discréditer le
candidat républicain aux élections présidentielles ? Interrogé
par ABC News sur ces propos, Schwarzenegger a répondu qu'il ne se
souvenait pas du tout de ça. « Tout ce que je peux vous
dire c'est que je déteste Hitler, sa politique et tout ce que le
troisième Reich représente ».
Et
puis il y a eu ce scandale dénonçant le comportement sexuel
d’Arnold et qui eut un retentissement même en Europe.
Il
est clair que n’importe quel autre homme politique, subissant le
dixième de ces attaques, aurait vu sa carrière définitivement
brisée. Mais pas Arnold Schwarzenegger. Tels les héros de ses
films, il a non seulement surmonté les scandales mais il a aussi
remporté les élections !
Quel
est donc le secret d'Arnold ?
Selon
Infowars, la carrière politique de l'Acteur aurait été décidée
au sein du Bohemian's Club, société secrète dont il serait
membre depuis son mariage et son entrée dans la famille Kennedy.
Les enquêteurs conspirationnistes de faire remarquer : « La
famille Kennedy est Démocrate, alors qu'Arnold Schwarzenegger s'est
présenté au poste de gouverneur de la Californie en tant que
candidat Républicain. Cela ne l'a d'ailleurs pas empêché de
soutenir financièrement les
campagnes électorales de la famille Kennedy. Ces contributions
financières ont été bien plus importantes que celles qu'il a
accordées à des candidats Républicains. »
Les
relations de Schwarzenegger ne s'arrêterait cependant pas au
Bohemian's Club. Dans un article de l’agence Reuters on découvre
l'acteur en compagnie de Warren Buffet, un de ses soutiens. Ensemble,
ils sont allés rendre visite à l’un des membres de la famille
Rothschild, dans l'une de leurs propriétés en Angleterre. « La
nouvelle carrière politique du Terminator comporte ainsi des aspects
secrets qui sont bien plus révélateurs que ses actions publiques »,
déclare infowars, en précisant que Warren Buffet est le Président
de Berkshire Hathaway, une très importante compagnie d'assurances.
Il s'est illustré en essayant de faire supprimer les lois
californiennes exigeant la publication des polices d'assurances
souscrites par des victimes juives de l'Holocauste, polices qui
n'avaient pas fait l'objet de règlements de la part des compagnies
d'assurances. Si les manœuvres de Warren
Buffet aboutissent, les sociétés d'assurances concernées vont
probablement gagner des milliards de dollars, une fois de plus sur le
dos des victimes. »
Pour
les conspirationnistes, l'identité des gens qui soutiennent Arnold
Schwarzenegger, et pour lesquels il travaille, en dit long sur ses
intentions véritables.
Infowars
de conclure en posant les questions suivantes : « Pensez-vous
que le fait que la famille autrichienne d'Arnold Schwarzenegger ait
été une famille nazie soit un détail sans importance ? Il est tout
de même très intéressant de savoir que le grand-père de G.W. Bush
et le père d'Arnold Schwarzenegger
étaient tous deux des partisans du Nazisme.
Arnold
Schwarzenegger serait-il le fer de lance médiatique d'un groupe
occulte américain, étroitement lié à une mystérieuse connexion
Nazie, et dont les membres seraient en train de prendre
irrésistiblement possession de l'Amérique ? »
Conclusion
Que
penser de cette enquête ? Est-elle le fruit d’un délire
paranoïaque des tenants de la théorie de la conspiration ? Est-elle
au contraire le reflet d'une réalité que les médias préfèrent
garder sous silence ? Le lecteur avisé se gardera bien de juger. Il
suffit qu'il demeure vigilant et garde un œil ouvert sur les
événements qui se produiront à l'avenir...
Alors
? Républicain ? Démocrate ? Ultra-conservateur ? Ou gauchiste
?...Avec tous ces qualificatifs contradictoires, comment savoir qui
se cache vraiment derrière Arnold ?… En fait, à chaque fois que
vous écouterez ses interviews, vous trouverez derrière son sourire
immuable, un homme excessivement
réfléchi, pragmatique et très sensé, très pointilleux jusque
dans les moindres détails…
Nenki
pour Top Secret.