Friday, October 22, 2010

La fin du monde n'est plus pour 2012


Le monde était censé disparaître le 21 décembre 2012. C'était en tout cas l'interprétation douteuse de pseudo experts liant la fin du calendrier maya à une hypothétique apocalypse. Selon les prophètes de la fin du monde, le calendrier maya terminant son treizième et dernier cycle de 5.125,36 années en décembre 2012, la Terre pourrait connaître une inversion des pôles avec pour conséquence une succession ininterrompue de catastrophes naturelles, de raz-de-marée, d'ouragans, d'éruptions, de précipitations diluviennes... Roland Emmerich en avait fait un film grand public, 2012, contribuant à populariser cette thèse. Mais pas de chance pour les apprentis prophètes, le calendrier maya ne finirait pas en décembre 2012 mais dans 50 ou 100 ans, selon des recherches récentes. D'après l'ouvrage Calendars and Years II : Astronomy and Time in the Ancient and Medieval World de Gerardo Aldana de l'Université de Californie, la conversion entre le calendrier maya et notre calendrier grégorien a été mal faite. C'est ce qu'explique le site Maxisciences :

La première conversion du calendrier maya pour déterminer des dates en correspondance avec notre actuel calendrier géorgien est appelée la constante de GMT (les initiales des noms des trois premiers chercheurs ayant étudié la culture maya) [...] ce travail a été essentiellement basé sur des documents des colonisateurs écrits en langue maya et traduits ensuite en langue latine. Par la suite, les travaux de Floyd Lounsbury, un linguiste et anthropologue américain, ont corroboré la thèse de la constante de GMT. Ce scientifique s’est basé sur les mouvements de la planète Vénus, comme les Mayas le faisaient eux-mêmes.

Gerardo Aldana conteste les travaux du linguiste qui selon lui s'effondrent «comme un château de cartes». Problème: le chercheur ne propose pas de nouvelle conversion du calendrier maya, se bornant à relever que la table de conversion traditionnelle est erronée, comme l'explique le site Livescience.com. Les prophètes de l'apocalypse ne pourront donc pas fixer de date précise dans les 50 ou 100 ans à venir.

Source :

Thursday, October 21, 2010

Lady Di : « assassinée parce que convertie à l’islam » ?


S’il y a une conversion hypothétique à l’islam, dont la révélation au grand jour aurait fait trembler la Couronne d’Angleterre, c’est indéniablement celle de l’adulée princesse de Galles, disparue tragiquement en 1997 à Paris, emportant avec elle un secret, réel ou imaginaire, qui entretient désormais le mythe.

Un épais mystère continue de planer tant sur les circonstances de la mort de l’icône planétaire de la monarchie anglaise, que sur la nouvelle vie qu’elle construisait aux côtés de celui qui l’a accompagnée jusque dans la mort, son compagnon de l’époque, Dodi al-Fayed, héritier de l’illustre magnat des affaires, l’égyptien Mohamed al-Fayed.

La thèse de l’assassinat commandité, que défend avec la force du désespoir un père inconsolable, refait régulièrement surface, et vient d’être reprise à son compte par la tante de Dodi al-Fayed au cours d’une déclaration fracassante à une chaîne égyptienne. "La princesse Diana a annoncé sa conversion à l’Islam, c’est là la principale cause de son assassinat", a-t-elle clamé haut et fort, assurant que Diana et son neveu devaient convoler en justes noces, avant de s’établir en Egypte où Dody al-Fayed planifiait de transférer toutes ses affaires, dans la villa familiale d’Alexandrie.

Intarissable, Safia al-Fayed a également précisé que son frère, qui avait fait sensation en achetant les célèbres magasins Harrods, avait choisi de les revendre aux Qataris et non aux Anglais, afin qu’ils restent à vie propriété des Arabes, tout en ajoutant que ce dernier s’était vu opposer le veto du ministre de la Santé lorsqu’il a souhaité faire don de 12 millions de livres au profit de l’hôpital de la reine Nazli en Alexandrie.

Le décès brutal de la lumineuse Lady Di est-il auréolé du halo en noir-obscur de l’intrigante affaire d’Etat ? La théorie du complot, futile chimère ou pas, reste à l’appréciation de chacun, mais ne manque pas à tout le moins de sel...



Tuesday, October 12, 2010

Prix Nobel de la Paix : Une imposture, un scandale



De qui se moque-t-on ?

Définition du prix Nobel :
Le prix Nobel (Nobelpriset en suédois) est une récompense de portée internationale. Remis pour la première fois en 1901, les prix sont décernés chaque année à des personnes « ayant apporté le plus grand bénéfice à l'humanité », par leurs inventions, découvertes et améliorations dans différents domaines de la connaissance, par l'œuvre littéraire la plus impressionnante, ou par leur travail en faveur de la paix, suivant ainsi les derniers vœux d'Alfred Nobel, inventeur de la dynamite.

Au XXIe siècle, les prix sont décernés au courant du mois d'octobre de chaque année. La cérémonie de remise des prix a lieu le 10 décembre, jour anniversaire de la mort d'Alfred Nobel. (Wikipedia)
Quant au prix Nobel de la Paix, il récompense une personne ayant fait avancer la cause de la paix dans le monde.

Quelques prix Nobel célèbres:

- Kissinger, un voyou (c'est un euphémisme) qui orchestre guerres, complots, coups d'état, tortures, comme en Amérique Latine (Chili, etc.).

- Shimon Peres, "travailliste" (de gauche) qui participe à un gouvernement d'extrémistes de droite et va-t-en-guerre, et qui, d'une voix patheline, fait comprendre qu'il faut être prêt à attaquer l'Iran.

- Elie Wiesel, tout aussi pathelin, qui ne veut pas qu'on "dévalue" la Shoah (des Juifs) en y incluant les autres victimes même encore plus victimes, proportionnellement, comme les Tsiganes. Ce prix Nobel-là fait ouvertement l'apologie de la guerre (contre l'Iran).

- Obama, qui enlève une partie des bataillons d'Irak mais... pour les mettre en Afghanistan, et qui mène plusieurs guerres à la fois, jamais rassasié: Pakistan, Somalie, etc. tout en déstabilisant des Etats latino-américains, entre autres. Ce lascar-là nous mènera à la guerre totale contre l'Iran, nucléaire et mondialisée. Avec ce Prix Nobel de la Paix, d'ailleurs, les bases militaires se multiplient aux quatre coins de la planète

- Liu Xiaobo, un dissident chinois, récompensé parce qu'il s'oppose à son pays non-aligné sur l'Occident. Chirin Ebadi, en Iran cette fois, avait elle aussi été honorée pour sa dissidence.

Qui dira après ça que les Nobel sont au service de la paix ? Ils sont au service d'un Occident impérialiste, oui !

Seuls seront bernés les imbéciles...

Un colon israélien en train d’écraser des enfants à Jérusalem-Est (VIDEO)

Cela se passe à Jérusalem Est, dans le quartier de Silwan d’où le gouvernement essaie de chasser un maximum de familles palestiniennes pour mettre des colons à leur place. Photos et vidéos montrant un colon israélien en voiture en train de se faire un "carton", et de heurter des enfants palestiniens à la sortie de la prière du vendredi, qui ont été transportés à l’hôpital mais dont les jours ne sont pas en danger.

Le chef d’une organisation de colons juifs a renversé avec sa voiture deux garçons palestiniens qui lançaient des pierres sur son véhicule dans le quartier arabe de Silwan à Jérusalem-Est occupée.

Selon le quotidien israélien Haaretz, David Be’eri était ce vendredi dans sa voiture avec son fils lorsque les enfants palestiniens ont jeté des pierres dans leur direction. Il a renversé les enfants tout en essayant de s’échapper. Les deux jeunes garçon Imran Mansur, 11 ans, souffre d’une fracture à la jambe, et Iyad Gheit, 10 ans, a également été transporté à l’hôpital pour se faire enlever des éclats de verre dans le bras.

L’incident s’est produit après la prière du vendredi, dans un quartier où les tensions sont exacerbées par les constantes agressions des colons juifs extrémistes. Be’eri est un militant bien connu de l’extrême-droite [israélienne] et le chef d’Elad, une organisation de colons juifs qui construit la dite Cité de David à Jérusalem-Est.

Il a été conduit pour interrogatoire par la police puis libéré sous caution. Les officiers de police israéliens prétendent que l’enquête se poursuivra



Thursday, October 07, 2010

Comment manipuler la population, en 10 leçons



1/ La stratégie de la distraction

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique.
« Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux. »
Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ».

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ».
On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui- même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3/ La stratégie de la dégradation

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas âge

La plupart des publicités destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas âge ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ?

« Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ».
Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ».

6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures.
Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ».


8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être stupide, vulgaire, et inculte…

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son
intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système
économique, l’individu s’auto dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets
est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, sans compter les enquêtes de surveillance d'écoute et de renseignement…, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui- même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.